Imaginaires du Nord et d'ailleurs

Mama Chamana parle la langue de la Terre

Mama Chamana parle la langue de la Terre

15,00

Née quelque part entre le jour et la nuit, Mama Chamana parle une langue aussi ancienne que la planète, qui se confond parfois avec le langage des oiseaux. Ses histoires se terminent toujours dans la langue de la Terre.

Description

Née quelque part entre le jour et la nuit, Mama Chamana parle une langue aussi ancienne que la planète, qui se confond parfois avec le langage des oiseaux. Ses histoires se terminent toujours dans la langue de la Terre. Plein de poésie, ce second livre de Yana Mori, poétesse voyageuse originaire de Sibérie, est un livre de sagesse qui nous donne à ressentir la beauté du monde dans ses détails les plus infimes.

Biographie de l’auteur

En créant le personnage imaginaire de Mama Chamana sur les réseaux sociaux il y a trois ans, Yana Mori ne savait pas qu’il remporterait un tel succès. Aujourd’hui Yana Mori a plus de 40.000 fans en Russie. En Russie, elle est l’auteure de trois livres, accompagnés de colletions de papeterie, bijoux… Née en Sibérie, Yana Mori consacre la majeure partie de l’année à voyager. Ses séjours à Bali, en Géorgie, en Inde ou encore en Birmanie ont été pour elle source d’inspiration.

Les histoires de Yana Mori ont conquis les lecteurs du monde entier. « Le Chant de Mama Chamana » est un message de mots et d’images destiné à tous les rêveurs, parents et enfants ! Chaque jour, ces visions métaphoriques nous chantent la simplicité et la beauté de la vie et nous rappellent que force et équilibre résident en chacun de nous.

Ils le font remarquer :

“Ce que j’ai le plus apprécié dans ce livre, ce sont les illustrations. Elles sont vraiment magnifiques. Elles donnent une certaines forces aux textes. Je crois que j’ai un coup de cœur pour l’illustratrice. De plus avec ses coins arrondis, les Editions Borealia nous proposent un très bel objet. En lisant ce livre, je me suis dit que c’est typiquement le genre de livre qu’un parent lit à son enfant le soir avant de ce coucher. Une ou deux petits récits très courts, où il est possible d’échanger et de poser des questions, le tout superbement illustré.” (Xian Moriarty, Ekablog, 02/02/2016)

“Faire connaître les productions littéraires (…) des peuples qui portent le nom d’autochtones, peuples premiers, aborigènes…” tel est le projet des éditions Borealia créées en 2011. Et leurs publications sont souvent étonnantes. Avec ce dernier livre qui plonge aux racines de l’humanité. (BP, NVL – Nouvelles du livre jeunesse, déc 2016, p. 99)

“Qui est Mama Chamana ? Etre nourricière, incarnation de la nature (…). Elle guide l’enfant, l’éloigne d’elle car il faut bien grandir.(…) Le texte s’achève sur une pirouette qui recèle tantôt un mot de sagesse, tantôt un mot d’humour. Les illustrations d’Anastasia Stepanova sont d’une grande délicatesse. Elles invitent le lecteur dans un univers différent à chaque page. Elles accompagnent la rêverie ou la réflexion, c’est selon. Aquarelles douces, traits légers, elles retiennent l’attention par leur côté surréaliste.  L’imaginaire y fait son lit et c’est bon“. (BP, NVL – Nouvelles du livre jeunesse, déc 2016, p. 99)

“La rentrée littéraire de septembre a été l’occasion de découvrir de beaux livres notamment chez un éditeur que nous aimons beaucoup : Boréalia. Ce dernier a édité un ouvrage poétique en prose narrant l’histoire de Mama Chamana ou mère Nature, notre mère à tous. (…) Au fond, Mama Chamana est un peu sorcière, elle peut ralentir le temps, parler au vent. (…) Mama Chamana est aussi fascinante qu’effrayante, elle nous abrite en son sein mais peut aussi nous faire disparaître comme un reste de cendres sur lesquelles on souffle.

Chaque conte se reflète dans son illustration. On remarquera la finesse du trait et la luminosité des couleurs qui confèrent aux représentations une impression de légèreté. Le graphisme presque naïf des objets quotidiens contraste avec la précision minutieuse des monstres et des figures mythologiques. Ce luxueux ouvrage invite à tout âge autant à rêver qu’à retrouver conscience de notre lien vital avec la nature.” (blog Wodka – sept 2016)

 

Pour la distribution en Suisse, voir avec notre partenaire pour l’édition la Galerie Hozho Visions.