À quatre-vingt-seize ans, Doris vit seule à Stockholm. Elle n’a plus aucune famille si ce n’est une petite-nièce aux États-Unis. Son bien le plus précieux est un carnet qu’elle possède depuis 1928, qui contient le souvenir des gens qu’elle a rencontrés au fil de son existence et dont elle a rayé les noms à mesure qu’ils ont quitté ce monde.