« Quand j’eus fini de ranger le bois, je demandai à Mère de me donner un peu d’argent. J’en fis des petits paquets de cent yen, et, sur chaque paquet, j’écrivis ces mots : “Toutes mes excuses.”J’allai d’abord à la mairie. Le maire était absent, aussi donnai-je le paquet à la secrétaire en disant : – Ce que j’ai fait hier est impardonnable mais dorénavant je serai plus attentive. […]Je me rendis ensuite chez le chef des pompiers. Lui-même vint m’ouvrir la porte. Il me fit un petit sourire triste, mais ne dit rien.
JAPON
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