La montagne compte peu d’écrivains comme Samivel dont la curiosité soit aussi universelle, les connaissances aussi vastes, le style aussi fin et évocateur. Le présent volume offre le meilleur de ses textes consacrés à la montagne, et on ne s’étonnera pas qu’ils soient de coloration et de styles divers. Les contes et nouvelles y vont de la saynète humoristique à l’évocation dramatique, mais les récits et essais qui composent la suite du volume ne sont pas moins variés.