Huit touristes étrangers sont pris en otages. Après une importante mobilisation médiatique, l’attention de la presse internationale se détourne. Seule une ONG présente dans la région poursuit sa mission et parvient à introduire un minuscule enregistreur dans une boîte de premiers soins transmise aux captifs.
À l’intérieur de la cabane, chacun a d’abord écrit son histoire, comme un jeu de cartes, un moyen de se distraire. Et puis, quand le papier est venu à manquer, chacun a gravé la pierre, le bois.