« Lorsque, vers la fin de sa vie, nous avions entrepris d’établir la liste des livres qu’il restait à traduire et à publier pour compléter la résurrection de son oeuvre, Nina Berberova, d’autorité, avait fait deux parts : d’un côté, les livres qu’elle revendiquait et qui pouvaient être publiés de son vivant ; de l’autre ceux qu’elle m’autorisait, si le désir m’en venait, à éditer plus tard – bien qu’elle n’en vît pas la nécessité.