Libotz, le bouc émissaire, ne parvient pas à sauver son ami Askanius du désastre déclenché par le procureur Tjärne, pas plus qu’il ne parvient à se faire accepter dans la petite ville de province. Il part, il » supporte les coups du destin, l’un après l’autre, sans laisser s’éteindre son espoir tout ensanglanté « . Sven Stolpe, le biographe de Strindberg, a écrit que Le Bouc émissaire était » l’un des plus grands récits jamais écrits en langue suédoise, qu’il n’avait pas été surpassé par la suite, ni même égalé ».