5 700 000 couronnes : c’est le montant de la facture qu’un organisme de recouvrement adresse un beau jour au modeste employé d’un vidéoclub. Esseulé depuis la mort de ses parents, négligé par ses amis qui ont charge de famille et mènent carrière, ce célibataire se contente d’une vie aussi paisible qu’insigni?ante. Mais voilà que l’Administration a décidé d’une taxe sur… le bonheur.