Patrice, indifférent à l’entourage, se serrait contre sa mère, ses larges yeux verts tombés en pleine nuit . Les cils, sur les joues l’une plus émue que l’autre, frémissaient . Le front était blanc, intact, doux comme un flanc de cygne. Les lèvres nues roulaient sans se tendre. Jamais n’apparaissait un goût de vie sur ces lèvres. Des lèvres de mort, Isabelle-Marie le fixa sournoisement : » Une belle bête ! » murmura-t-elle entre ses dents